INSTANTANESDUMONDE

Tommy Kha se photographie en train de recevoir un baiser d’étrangers, d’amis, d’amants et de connaissances – et de ne pas le rendre. Hemya ​​Moran approche les individus dans la rue, puis met en scène des moments privés dans leurs chambres, salles de bains et arrière-cours, et Jamie Diamond crée des «photos de famille» mises en scène avec des personnes qu’elle trouve sur Craigslist. Joy Mckinney touche 74 inconnus dans les rues de New York, et George Ferrandi pose sa tête sur des inconnus dans le métro. Explorez ces histoires et plus encore dans ce guide pour photographier des étrangers.

« L’intimité peut-elle être concoctée en quelques instants ou cela prend-il des années ? Hemya ​​Moran joue avec les idées de communion et de relations dans sa série Intimes étrangers. Abordant des individus dans la rue, Moran leur a demandé d’avoir une « connaissance intime avec elle ». Ils ont ensuite mis en scène ces moments privés dans un court échange, résultant en une série qui semble à la fois contre nature et surréaliste familière. Le spectateur doit deviner la relation, quitte à s’interroger sur l’origine et la véracité de chaque mise en scène.

« À première vue, les portraits de famille du photographe new-yorkais Jamie Diamond sont assez convaincants dans leur conventionnalité – des visages souriants installant un cliché classique, prêt pour le mur. Pourtant, ils sont en fait mis en scène, et les sujets étrangers. Diamond recrute les faux membres de sa famille en public et sur Craigslist, leur demandant de le rencontrer dans des chambres d’hôtel louées où il construit des familles artificielles pour la caméra. Le travail qui en résulte explore l’image publique de la famille, les thèmes de la vérité photographique, le genre, la classe et la culture.

« Je choisis des personnes à photographier sans distinction de sexe, de race et de classe, et j’interagis consciemment avec mon environnement. Le travail est une exploration de mon histoire et des façons dont j’ai été gardé et choisi pour ne pas parler aux étrangers. Je veux explorer aller à l’encontre de ce que je croyais être socialement correct. Je veux traduire ma nature compatissante et ce que je ressens pour les gens que je rencontre, l’espace que nous partageons tous ensemble tant sur le plan social qu’environnemental. –Joy McKinney

Mi-performance, mi-projet photographique, c’était comme si je te connaissais explore l’espace entre deux inconnus dans un métro bondé. L’artiste basé à Brooklyn George Ferrandi voit cet espace comme un complexe composé de normes sociétales, de peurs personnelles et de solitude. Pour tenter de briser ces barrières entre étrangers, elle attend le moment où il y a un changement palpable d’énergie, où l’espace rigide et gardé entre deux personnes est remodelé. Elle pose ensuite doucement sa tête sur l’épaule de cette personne pour voir ce qui se passe ensuite.

« Le photographe Tommy Kha ne vous rendra pas son baiser. Dans son projet, Retourner à l’expéditeur, Kha se documente en train de recevoir un baiser d’étrangers, d’amis, d’amants et de connaissances, et de ne pas le rendre. A quoi devons-nous ce plaisir visuel et cet inconfort physique ? Ces images des yeux perplexes et ouverts de Kha tandis que son corps malléable est pris, touché et saisi au gré d’un autre évoque un amalgame d’émotions, dont la moindre est notre propre inconfort.

Découvrir plus

Les gens posent toutes sortes de questions aux photographes de nuit. L’une des plus courantes est : quel est l’endroit le plus effrayant et effrayant que vous ayez jamais photographié ?

Le dernier arrêt pour près de 1000 âmes

L’imposante structure gothique en pierre du pénitencier de Moundsville en Virginie-Occidentale était le dernier arrêt des meurtriers, des violeurs et des voleurs. Près de 1000 hommes y ont perdu la vie. Entre 1876 et 1995, ces prisonniers ont été pendus, électrocutés, matraqués ou se sont suicidés. Certains ont rencontré des morts macabres dans la zone d’haltérophilie extérieure.

Moundsville était bizarrement violent. Il a fait partie de la liste des dix établissements correctionnels les plus violents du ministère de la Justice des États-Unis.

Certains ont trouvé la mort aux mains des gardiens de prison. Moundsville a brisé les hommes, les laissant brisés. Certains pensent que ces prisonniers torturés restent encore à l’intérieur des grands murs de pierre.

Moundsville tire son nom des tumulus amérindiens de l’autre côté de la rue. La mort n’était pas étrangère à ces régions.

Sombre. Effrayant. Imposant. Hanté. Vieux. Abandonné. Étrange.

Trois d’entre nous, photographes de nuit, n’ont pas pu résister. Au cours d’un été humide en 2017, Tim Little, Mike Cooper et moi avons photographié à Moundsville. La nuit. Sans lumières allumées.

Préparation pour la photographie de nuit dans les murs de pierre

Nous sommes arrivés peu après le coucher du soleil. Nous étions mobiles, ayant tout notre équipement photo, de l’eau, des collations et des accessoires dans des sacs à dos. Nous sommes passés devant « Sparky », la tristement célèbre chaise électrique qui en a envoyé beaucoup à la mort.

Dans le couloir, Tim distribua des radios Motorola CP110. Ceux-ci avaient une portée de 1,5 miles. Nous n’étions pas sûrs que leur signal traverserait plusieurs murs de pierre épais, mais c’est ce que nous avions. Nous les utilisions pour communiquer n’importe quoi, généralement pour faire savoir aux autres où nous allions afin de ne pas interférer les uns avec les autres ou d’appeler à l’aide.

La fameuse cabane à sucre

La cabane à sucre est sombre à plus d’un titre. C’était une salle de loisirs située au rez-de-chaussée et c’est la salle la plus tristement célèbre de Moundsville. Cette pièce était essentiellement une salle de chasse, un endroit où les gardes détournaient le regard, un endroit où se déroulaient des jeux de hasard, des combats, des viols et des meurtres.

Comme vous pouvez l’imaginer, il y avait un chaos, une violence et des blessures indescriptibles dans cette pièce. Chuck Ghent, notre guide lors de notre excursion d’une journée, a déclaré: « Des choses se sont produites dans cette pièce qui ont amené les gens à l’appeler la » cabane à sucre « … quelque chose auquel vous ne voudrez peut-être pas trop penser, heh heh. »

Des enquêteurs paranormaux ont rapporté avoir entendu des chuchotements, des disputes, des bruits inexpliqués et des points froids dans Sugar Shack. Gand a dit : « J’ai eu des pas qui marchaient derrière moi, et j’ai eu des portes qui se fermaient derrière moi. Ghent a travaillé comme agent correctionnel dans l’établissement de 1986 à 1995. « Ici, il n’y a pas eu un jour où tu ne t’es pas demandé si aujourd’hui pourrait être ton dernier jour. »

Alors qu’il travaillait comme gardien, Gand a déclaré qu’un détenu avait tenté de l’empoisonner en mettant du mercure dans son café.

Le ciel était encore relativement clair. Cependant, je voulais commencer à photographier. J’ai choisi l’endroit le plus sombre. C’était la cabane à sucre.

J’ai immédiatement eu la chair de poule en venant ici. Je ne suis généralement pas enclin à être effrayé. Cependant, cette pièce avait une sensation vraiment inquiétante. J’ai mis en place pour une photo. Ma lampe frontale est soudainement morte. Il faisait nuit noire. Je ne pouvais pas voir ma main devant moi. Pour finir la photo, j’ai compté les pas jusqu’au mur et j’ai peint la pièce avec mes ProtoMachines. J’ai ensuite fait mes bagages et je suis parti. Une photo suffisait.

Globules rouges sanguins

J’ai photographié les cellules des blocs J et K. C’était inquiétant. Mes pas résonnaient partout. J’ai décidé d’y aller, en choisissant une photo rouge sang, faisant briller la lumière de telle manière que les barreaux des cellules de la prison apparaissaient sur le sol.

Je l’ai fait avec chaque cellule. L’image entière était rouge, à l’exception de certaines des lumières de l’extérieur qui brillaient à travers les fenêtres en briques de verre. À un moment donné, quelque chose a cliqué et a semblé tomber au sol. Je me suis retourné. Personne n’était là. Je n’ai jamais su ce qui était tombé.

Service psychiatrique

Vers la fin de la soirée, la radio a crié. « Nous devons être sortis d’ici dans 12 minutes ! » J’ai regardé mon téléphone. Effectivement, il était presque temps de partir. J’étais à l’étage. Du verre brisé, de la céramique brisée et beaucoup de poussière gisaient partout, créant des bruits de grattage pendant que je marchais.

J’avais 12 minutes. J’avais vraiment envie de photographier le service psychiatrique. Celui-ci se trouvait de l’autre côté d’une grande salle communautaire, que je devais traverser.

FLU-FLU-FLU-FLU-FLUP !

Je tournai en rond, faisant briller ma lampe ProtoMachines. J’ai été accueilli par un élan d’ailes et d’air en mouvement. Chauves-souris! Comme si ce bâtiment gothique en pierre ne suffisait pas, des chauves-souris y vivaient aussi.

J’ai jeté un coup d’œil dans la salle médicale du service psychiatrique. Je pourrais faire ça. J’ai installé la caméra rapidement, dirigé ma lumière dans la pièce et fait la mise au point. J’ai déclenché l’obturateur et illuminé la pièce avec la lumière rouge et bleue des ProtoMachines dans la pièce.

Il faisait nuit noire, donc la durée d’exposition n’avait pas d’importance. Tout dépendait de ma lumière. Je voulais photographier rapidement car je devais retourner au front, qui était à au moins cinq minutes. 24 secondes plus tard, j’avais fini. J’ai fermé le volet. La photo avait l’air bien. Je pouvais maintenant quitter le service psychiatrique. Je ne dérangerais plus les chauves-souris. Ou quoi que ce soit d’autre.

Par personnel

Publié le 19 avril 2023

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Avec les nouveaux appareils photo apportant des vidéos de niveau professionnel aux photographes, ce n’est qu’une question de temps avant que les gens nous demandent de faire des films.

La vidéo de qualité cinéma est ici

De nouveaux graffitis sont sur le wagon de métro et il nous dit de mettre nos compétences vidéo en marche — vite ! C’est comme le passage du film au numérique seulement plus rapide, beaucoup plus rapide.

La vidéo HD est arrivée sur les appareils photo en 2008

Canon a introduit la vidéo HD dans son 5D Mark II en novembre 2008 et en 2010, les cinéastes utilisaient l’appareil photo pour capturer des scènes dans des endroits exigus où les caméras traditionnelles ne rentreraient pas. Les MII 5D étaient vraiment bon marché par rapport aux caméras de cinéma de qualité cinéma. Ils étaient utilisés pour les films d’action où peu importait que la caméra soit détruite en train de tourner une scène.

L’intégralité de l’épisode du 17 mai 2010 de la série télévisée « House » réalisé par Greg Yaitanes a été tourné avec un Canon 5D Mark II. Là où le cinéma et les vidéastes ont rapidement adopté cet appareil photo dans le cadre de leur narration, les photographes de plateau ont été très lents à monter à bord du train de l’image animée.

Formats professionnels

Les résolutions jusqu’à 8K, les codecs HDR et pro deviennent désormais la norme dans les appareils photo. Il en va de même pour les fréquences d’images plus élevées pour la capture de ralenti. Les profils RAW et Log sont également de plus en plus répandus dans les appareils photo professionnels, à la fois DSLR et sans miroir.

Qu’est-ce que cela signifie?

Pour le photographe amateur, la vidéo de qualité cinéma offre une autre voie pour explorer la création d’images et repousser les limites de son passe-temps. Tout photographe filmant des vidéos avec un smartphone dispose désormais d’une caméra vidéo de qualité professionnelle intégrée directement dans son reflex numérique ou son appareil photo sans miroir. On demande aux photographes professionnels qui travaillent pour des clients s’ils proposent de la vidéographie en plus de leur travail fixe. Dans les deux cas, ces capacités vidéo améliorées offrent aux photographes des opportunités d’élargir leurs horizons et d’augmenter les revenus de leur entreprise.

Qui doit apprendre la vidéo ?

Cette question n’a pas encore été résolue. Je crois que pour les photographes professionnels, c’est une nécessité absolue pour le succès de leur entreprise. L’apprentissage de la vidéo rendra la narration encore meilleure et plus gratifiante. Diriger des sujets dans des vidéos améliorera également les compétences de pose. Le travail encore bénéficiera de la prise de vue vidéo. Les vidéos bénéficient des compétences que les tireurs connaissent déjà.

Les clients veulent une ressource capable de gérer à la fois des projets de films fixes et cinématographiques. La meilleure partie est que, contrairement à la photographie fixe, la vidéographie a souvent d’autres professionnels travaillant sur une production. Cela soulage le stress et fournit une majoration sur le coût de leurs services.

Sport individuel vs sport d’équipe

Il existe une différence fondamentale entre la photographie fixe et la vidéographie. La photographie fixe est principalement réalisée par le photographe seul ou peut-être avec un assistant et éventuellement un coiffeur et un maquilleur. La photographie est un sport individuel comme la course à pied, le skateboard ou le ski.

La vidéographie nécessite beaucoup plus d’équipement que la photographie fixe. Non seulement la caméra capture le mouvement, mais le son doit également être enregistré. La vidéo peut avoir un caméraman, un ingénieur du son, un réalisateur, un technicien numérique et un assistant de production ainsi que les coiffeurs et maquilleurs. La vidéographie est avant tout un sport d’équipe.

Photo par Harrison Kugler sur Unsplash

Tourner une vidéo ne veut pas dire la monter aussi

J’ai entendu des photographes dire qu’ils voulaient filmer mais qu’ils ne voulaient pas apprendre à les éditer. Ça marche! Il y a beaucoup d’éditeurs dans l’industrie vidéo qui veulent juste éditer.

Les photographes de plateau apportent beaucoup à un tournage vidéo. Ils savent déjà comment raconter une histoire en images. Ils savent séquencer leurs photos dans un album, sur un billet de blog ou dans un article. Obtenir toutes les scènes qu’un éditeur doit assembler revient à s’assurer que toutes les photos de la liste de prises de vue ont été capturées.

La vidéo est un autre service client

Qu’on le veuille ou non, les capacités vidéo des appareils photo numériques ne feront que s’améliorer. Des formats plus grands et des options de capture professionnelles telles que Log et RAW signifient que les photographes qui adoptent la vidéo disposeront d’un outil dans leur arsenal d’offres clients qui les aidera à assurer leur prospérité.

Il est temps de vous lancer dans la prise de vue vidéo et d’étendre vos compétences derrière la caméra.

Les portraits en studio sont une merveilleuse façon de capturer la beauté d’un sujet dans un environnement contrôlé. En tant que photographe, vous avez le pouvoir de créer des images époustouflantes qui mettent en valeur les meilleures caractéristiques de vos sujets. Une technique qui peut faire passer vos portraits au niveau supérieur consiste à ajouter une unité de projection à votre configuration.

Une unité de projection est un appareil qui vous permet de projeter des images, des motifs ou des dessins sur votre sujet. Il peut être utilisé pour créer un arrière-plan unique, ajouter de la texture ou de la profondeur à une image, ou même ajouter un intérêt visuel aux vêtements ou accessoires de votre sujet. Voici quelques conseils sur la façon d’utiliser une unité de projection pour améliorer vos portraits en studio.

Choisissez une unité de projection

Il existe plusieurs types d’unités de projection disponibles, allant des petits appareils portables aux unités plus grandes conçues pour être montées sur un support. Avant d’investir dans une unité de projection, réfléchissez à vos besoins et au type de photographie que vous envisagez de faire. Par exemple, si vous photographiez principalement des portraits, une petite unité portative peut suffire. Si vous envisagez de créer des arrière-plans plus élaborés ou des portraits du corps entier, une unité plus grande peut être nécessaire. Pourquoi ne pas découvrir l’unité de projection Godox AK-R21 ? On m’a récemment envoyé un kit pour expérimenter et jouer avec. Cela prend un peu de pratique, mais vous pouvez obtenir des résultats fantastiques.

Comment fonctionne l’unité de projection ?

Le Godox AK-R21 se fixe à votre flash. J’utilisais un AD200Pro (tête Fresnel), mais vous pouvez utiliser le Godox AD100Pro, V1 et presque tous les flashs d’appareil photo de la marque. Si vous utilisez la tête Fresnel, essayez l’adaptateur AK25.

Expérimentez avec différents motifs et images

Une fois que vous avez configuré votre unité de projection, il est temps d’expérimenter différents motifs et images. Le Godox AK-R21 propose de nombreuses transparences différentes, allant de géométrique à Halloween, Space et plus encore. Considérez l’ambiance que vous souhaitez transmettre dans votre image et choisissez des motifs et des images qui complètent les vêtements, la personnalité et l’esthétique générale de votre sujet.

Jouez avec le placement de l’unité de projection

L’emplacement de votre unité de projection peut avoir un impact important sur l’image finale. Par exemple, projeter une image sur un fond blanc uni peut créer un arrière-plan unique et dynamique. Si vous utilisez une unité de projection plus grande, envisagez de projeter l’image sur le sol ou même sur le corps de votre sujet pour créer un effet plus immersif. Vérifiez la meilleure configuration pour votre appareil. La distance optimale pour l’AK-R21 avec l’objectif 65 mm est de 2 m.

Je l’ai aussi eu env. 2 mètres de haut. Si vous placez votre appareil photo sur un trépied, puis placez l’unité de projection et le flash sur un pied d’éclairage, cela facilite un peu les choses. Préparez votre scène, concentrez-vous, puis éteignez toutes les lumières de la pièce. Une fois la lampe pilote allumée, vous pouvez la voir dans le noir. Déplacez votre projecteur à la hauteur souhaitée. En tournant l’extrémité de l’objectif, vous pouvez mettre au point ou brouiller l’image projetée.

Faites attention à l’éclairage et à l’emplacement

Lors de l’utilisation d’une unité de projection, il est important de prêter attention à l’éclairage et au placement. Comme le flash éclaire les transparents, c’est la partie la plus facile. Il s’assure qu’il est au bon endroit. La source lumineuse doit être configurée de manière à ce que le sujet soit correctement éclairé. Vous pouvez également ajouter des lumières supplémentaires pour éclairer votre sujet tout en gardant la projection visible. Avoir votre chambre sombre assurera également un excellent résultat. J’ai essayé à la fois un bol de beauté et un snoot pour mettre en valeur le visage de mon modèle.

Pratique, pratique, pratique

L’ajout d’une unité de projection à la configuration de votre studio demande de la pratique. N’ayez pas peur d’expérimenter différentes images, emplacements et configurations d’éclairage jusqu’à ce que vous trouviez la combinaison parfaite qui vous convient. Avec un peu de pratique, vous pouvez créer des portraits de studio époustouflants et uniques qui se démarquent de la foule. C’est aussi très amusant, bien qu’assez frustrant au début.

En conclusion, l’ajout d’une unité de projection à vos portraits en studio peut faire passer votre photographie au niveau supérieur. Avec un peu d’expérimentation et de pratique, vous pouvez créer des images époustouflantes qui mettent en valeur les meilleures caractéristiques de votre sujet et capturent sa personnalité unique. Certes, ce n’est peut-être pas pour tout le monde ou pour tous les portraits. Mais, à 226 AUD $, allez-y et essayez-le – vous pourriez être surpris des résultats !

En tant qu’amoureux autoproclamé de l’hiver, de la neige et de l’air frais qui l’accompagne, se diriger vers l’Arctique était un élément de la liste des choses à faire.

J’ai toujours été fasciné par les régions polaires et je suis plus que chanceux d’avoir pu cocher un endroit de l’Arctique sur ma liste.

Premières impressions

Svalbard est un archipel norvégien de l’océan Arctique. Située au sommet du monde, elle se compose d’îles et de voies navigables entre 74° et 81° de latitude nord et 10° et 35° de longitude est (à mi-chemin entre la Norvège et le pôle Nord). La plus grande île est le Spitzberg qui, si vous avez la chance de la visiter, est l’endroit où vous arriverez dans la petite ville de Longyearbyen.

Quand je suis arrivé à Longyearbyen, je bavais déjà devant les montagnes enneigées avant même que l’avion n’atterrisse. C’était la mi-juin donc les températures étaient assez agréables, pour moi en tout cas, juste au-dessus du point de congélation. Après m’être enregistré à mon hôtel, je suis allé me ​​promener dans la région, caméra déjà en main.

Ralentir

L’une des choses les plus difficiles à faire en tant que photographe lorsque vous arrivez dans un nouvel endroit est de ralentir. Voir et être là où vous êtes. Nous sommes généralement tellement excités que nous mettons l’appareil photo devant notre visage et que nous cliquons sans intention réelle. Lorsque nous faisons cela, nous manquons de capturer l’essence de l’endroit où nous nous trouvons, les images, les sons et les odeurs qui nous reviennent tous lorsque nous regardons nos images après être rentrés chez nous.

Alors que je me promenais en admirant le paysage, les petites maisons colorées, les petites boutiques, les restaurants et autres hôtels, mon attention revenait sans cesse sur les montagnes tout autour. J’ai marché vers l’eau où j’avais une vue plus claire d’eux et j’ai commencé à prendre quelques clichés. Plans larges au début, mais j’ai été attiré par les motifs de neige et de rochers et j’ai commencé à resserrer ma vue avec mon objectif (j’ai eu la chance qu’un ami me prête son 100-400 mm pour ce voyage).

Plus je choisissais des formes spécifiques, plus une idée se formait dans ma tête. À ce moment-là, j’ai décidé de tourner avec l’intention de créer des résumés arctiques pendant mon séjour à Svalbard. Au début, c’était juste les montagnes, à ce moment-là, je n’avais aucune idée de ce que j’allais voir pendant les 10 prochains jours à bord d’un bateau.

À bord du navire arctique

C’était un peu comme descendre de l’avion, pour être honnête. Tant de nouveautés à voir et à explorer. Assurez-vous de savoir comment vous déplacer et ne pas vous perdre. Ce n’était même pas un si gros navire, mais le hall étroit et les escaliers facilitaient le détour au début. Après avoir rangé les bagages et installé la cabine, il était temps de monter sur les ponts pour voir plus de paysages, rencontrer l’équipage et les autres passagers. Plus important encore, le temps de rencontrer les quatre photographes professionnels qui faisaient partie du symposium de photographie qui se déroulait lors de ce voyage.

Une chose que j’ai toujours faite dans mes voyages est de prendre des photos de l’endroit où je séjourne. J’avais l’habitude de le faire pour pouvoir montrer à ma famille quand je suis rentré à la maison comment c’était là où j’étais et je prends toujours des photos de ma chambre, de la salle à manger, des couloirs et d’autres aspects, dans ce cas, du navire, donc je pourrait partager ce que c’était à bord.

Dormir ou tirer ?

Après avoir traversé plusieurs fuseaux horaires, il n’est pas toujours facile de rester éveillé. Je suggère d’essayer de rester éveillé aussi longtemps que possible. Pourquoi? Dans ce cas, si je m’étais écrasé alors que je me sentais comme un zombie ambulant, j’aurais raté le début de la deuxième partie de ma série Arctic Abstracts.

L’eau. Il n’y a rien comme la lumière arctique. C’était après 22 heures et incroyable de voir la lumière jouer sur l’eau. Il y avait aussi plusieurs oiseaux arctiques différents qui volaient pour être capturés.

Photographiez ce que vous ressentez

Au fur et à mesure du voyage, surtout les premiers jours, je me sentais obligé de photographier les oiseaux. Tout le monde photographiait les labbes et les goélands. N’en déplaise aux photographes d’oiseaux, mais ils ne m’intéressaient vraiment pas, à part qu’ils étaient de nature arctique. Je me suis essayé et j’en ai profité pour en apprendre davantage sur la photographie d’oiseaux en vol. Il y a toujours des occasions d’apprendre quelque chose, peu importe où vous voyagez. Les photographes professionnels sont là pour une raison, apprennent d’eux, posent des questions et sélectionnent leurs cerveaux. C’est quelque chose que je regrette de ne pas avoir fait beaucoup lors de ce voyage particulier. Je le regrette encore.

Une fois que j’en ai eu marre des oiseaux, j’ai commencé à chercher ce qui me parlait. Les montagnes, le ciel et les mers. La grande ouverture de tout cela. J’ai dirigé mon œil et mon objectif vers ces objets, ces scènes et ces vues qui m’ont fait reculer, fermer les yeux et réaliser que c’était la raison pour laquelle j’étais ici. C’est ce qui m’a fait prendre de grandes respirations et m’imprégner de tout.

Ainsi, même parmi tous les autres photographes, j’ai finalement choisi de rester fidèle à qui je suis en tant qu’artiste et photographe. J’étais beaucoup moins frustré et j’en suis ressorti avec des images plus significatives.

Frapper ma foulée dans l’Arctique

Au fur et à mesure que les jours passaient et que nous nous aventurions plus loin dans et autour des baies et des criques, il y avait plus à voir et à capturer. Les glaciers et les icebergs m’ont conduit à mon troisième sujet Arctic Abstract. Les couleurs et les formes de la glace étaient fascinantes et je voulais pouvoir capturer à la fois la taille incroyable de ces icebergs et aussi les détails intimes de la glace dont ils sont formés.

Nous sommes partis en zodiac et nous nous sommes promenés sur terre, quelques jours que nous avons passés juste dans les zodiacs à naviguer autour des icebergs et à voir les glaciers de près (aussi près que possible de toute façon). Chaque fois que nous sortions, nous avions un photographe professionnel dans notre Zodiac avec nous. Quelle belle façon de regarder, d’écouter, de poser des questions et d’apprendre. Parfois, le simple fait de regarder ce qu’ils voyaient aidait à capturer des images que je n’aurais peut-être pas obtenues autrement.

Étais-je entièrement ravi des milliers (oui, beaucoup) d’images d’ours polaires que j’ai prises ? Honnêtement non. J’en avais quelques-uns qui étaient passables et j’étais assez déçu de moi-même pour ne pas avoir posé de questions. Comment dois-je aborder la photographie d’un ours polaire qui était sur terre, alors que nous étions en zodiac ? Tant de mouvement, l’eau, le zodiaque, les autres personnes dans le zodiaque, essayant toutes de prendre des photos de l’ours polaire.

Même si je n’aime pas la question « quels paramètres utilisez-vous », cela aurait été le moment et l’endroit parfaits pour cela.

Symposium de photographie

Dans le cadre de cette croisière particulière, les quatre photographes professionnels étaient disponibles pour aider tout le monde. Il y avait des présentations quotidiennes et nous avons également pu soumettre nos propres images à montrer chaque soir en guise de récapitulation de la journée. Des séances de critique ont également eu lieu. C’est effrayant d’être dans un groupe de personnes que vous ne connaissez pas du tout et de vous mettre en avant, mais combien de fois avez-vous la chance d’avoir des professionnels qui parlent de vos images et vous aident à apprendre ce que vous pouvez pour améliorer votre jeu, même juste un peu ?

Au cours de ces présentations, critiques et récapitulatifs, c’était aussi un moment idéal pour faire connaissance avec les autres passagers, dont beaucoup étaient des photographes lors de ce voyage. Comme vous le savez, nous avons tous quelque chose à apprendre et à apprendre les uns des autres. Ce qui me rappelle, assurez-vous également de prendre des images des personnes que vous rencontrez et de les partager après le voyage.

Ce que j’ai appris de cette expérience arctique

• Avoir défini une intention créative au début m’a permis de trouver plus facilement des images à travers mon objectif.
• Les photographes à bord sont là pour vous aider. Profitez de cet accès.
• Soyez vous. Si vous n’êtes pas un photographe animalier et que vous n’êtes pas trop désireux d’apprendre cela, ne le forcez pas. Apprenez-en et continuez à photographier ce qui vous rend heureux.
• Prenez des instantanés en cours de route. Toutes les images ne doivent pas nécessairement faire partie d’un portfolio. Enregistrez votre voyage et toutes les petites choses qui composent toute l’expérience.
• N’oubliez pas de filmer la vidéo. Utilisez votre téléphone ou votre appareil photo pour enregistrer également les sons, en particulier dans les endroits où ces sons sont si peu familiers.
• Socialiser. Dans un groupe avec autant de photographes surtout. Apprenez les uns des autres, faites-vous des amis pour la vie, tout cela fait partie de l’expérience de voyage.
• Prenez un disque dur externe, des batteries supplémentaires et des adaptateurs secteur. Téléchargez des images sur votre ordinateur portable et votre disque dur (au moins un disque supplémentaire).
• Je ne finirai peut-être jamais de parcourir les images que j’ai prises.
• N’oubliez pas de demander à quelqu’un de prendre votre photo de temps en temps aussi !

  

Reconnaissant

Je suis incroyablement chanceux d’avoir pu faire ce voyage. Partager mes expériences avec vous et d’autres m’a permis de revivre des moments, des gens et des lieux. J’espère avoir également transmis quelques informations utiles, non seulement sur l’Arctique, mais aussi sur les voyages et la prise de photos en général.

L’Arctique est paisible, calme et tranquille. Il a capturé mon cœur et mon âme. Je vous laisse avec quelques sons.