Pleasant Grove ISD est au courant des allégations concernant la conduite antisportive de la part d’élèves lors du récent match de volleyball entre le lycée de Pleasant Grove et le lycée de North Lamar qui s’est tenu le 29 octobre au PGHS.
Langues et dialectes des régions de France/Flamand occidental.,Référence litéraire.
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Comment lutter efficacement et à moindre coût contre les drones en mer ? La situation en mer Rouge, où les tirs Houthis à l’aide de drones mettent en évidence une faille de sécurité pour le trafic maritime, inquiète les marines occidentales qui cherchent la parade. Au salon Euronaval, qui se tient à Paris du 4 au 7 novembre, l’entreprise française Cilas spécialiste, des lasers, a présenté une solution.
Taqiyya ! Comment les frères musulmans veulent infiltrer la France.,A voir .
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« C’est la plus forte coupe de la loi de finances ! » annoncé par Le Point – Politique le
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En progression budgétaire constante depuis 2017, et après une première baisse en 2024, l’Agence française de développement (AFD) se prépare à un coup de massue pour la coopération internationale. Dans le projet de loi de finances 2025 actuellement débattu à l’Assemblée nationale, la mission « aide publique au développement » devrait voir son budget amputé de 2 milliards d’euros, soit près d’un tiers de son enveloppe actuelle de 6 milliards. Une coupe drastique qui fait de l’aide extérieure l’enveloppe la plus durement touchée de tous les budgets de l’État.
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Un non-sens pour Rémy Rioux, son directeur général, qui sort de sa réserve pour lancer un cri d’alarme contre une mise à la diète qu’il juge incohérente et contre-productive. Ce haut fonctionnaire proche du président, ancien négociateur de l’accord de Paris sur le climat, doit être auditionné ce 6 novembre par les députés et les sénateurs. Et il entend défendre l’utilité et l’efficacité de cette politique publique, bec et ongles.
Le Point : L’AFD fait face à une coupe budgétaire historique. Pouvez-vous nous en préciser l’ampleur ?
Rémy Rioux : Il ne s’agit pas seulement du budget de l’AFD, mais de la mission « aide publique au développement » dans son ensemble. D’un peu plus de 6 milliards d’euros cette année, elle perdrait 2 milliards l’année prochaine. Ce budget serait amputé de plus d’un tiers, la plus forte coupe de la loi de finances 2025, et plus encore pour le seul budget du ministère des Affaires étrangères. Une baisse inédite, qui me semble excessive. Ces montants concernent l’action multilatérale, comme nos contributions à la Banque mondiale, au Fonds mondial de lutte contre le sida ou aux agences de l’ONU, et aussi nos instruments dits bilatéraux, principalement le budget confié à l’AFD.
Depuis 2017, l’aide internationale est passée de 10 à plus de 15 milliards d’euros, faisant de la France le 5e bailleur mondial, selon l’OCDE. En a-t-elle encore les moyens ?
Il faut se féliciter que la France tienne ses engagements internationaux et ait réussi à allouer plus de 0,5 % de sa richesse à la solidarité internationale. En 2023, nous sommes en réalité en 6e position en montant total et en 11e en part du revenu national, ce qui correspond bien, je crois, à la place de la France dans le rang des nations.
Pourquoi s’en féliciter ? Parce que nous vivons dans un monde de plus en plus complexe et fragmenté où notre pays doit impérativement disposer d’une capacité de coopération correspondant à ses capacités diplomatiques et de défense. La politique de développement est essentielle pour tisser des liens d’amitié et d’entraide entre notre pays et tous ceux qui veulent coopérer avec lui. Ce n’est pas juste un supplément d’âme, mais une condition de notre prospérité et de notre sécurité.
Et puis comparons ce qui est comparable. Sur ces 15 milliards d’euros, 2,5 alimentent le budget européen et 3,5 sont des dépenses enregistrées sur le territoire français principalement pour l’accueil des étudiants étrangers et des réfugiés. Notre vraie capacité d’action directe à l’étranger, ce sont les 6 milliards de la mission « aide au développement », aujourd’hui menacés. C’est-à-dire à peu près autant que le budget que l’État consacre à l’administration pénitentiaire, lui-même très contraint. Est-ce vraiment excessif pour que la France conserve sa voix et son influence dans le monde ? Je ne le pense pas.
Quel est l’impact concret de votre action ?
L’AFD démultiplie l’argent budgétaire de façon spectaculaire. Sur ces 6 milliards d’euros, l’AFD en reçoit 2, qu’elle démultiplie en empruntant sur les marchés pour faire 12 milliards de financements chaque année. Quatre mille projets concrets sont en cours de réalisation, partout dans le monde et d’abord en Afrique. Ils ont permis en 2023 à 70 millions de personnes d’accéder à des soins, la construction de 4 000 km de routes, l’accompagnement de 13 000 PME, l’installation de 3 800 mégawatts d’énergie renouvelable… L’essentiel des projets que nous finançons l’est sous la forme de prêts à taux préférentiel, avec un effet multiplicateur de plus de six pour un euro d’argent public. Ces investissements bénéficient aussi significativement aux entreprises françaises : elles remportent 50 % des marchés conclus sur des financements de l’AFD, y compris lorsque les fonds proviennent d’autres financeurs. L’AFD est devenue le premier partenaire de la Banque mondiale avec plus de 25 milliards de dollars de cofinancements depuis mon arrivée. C’est autant qui est accessible aux acteurs français, avec de nombreuses créations d’emplois à la clé.
L’AFD joue-t-elle aussi un rôle diplomatique ?
Bien sûr, et ce rôle est crucial. L’AFD prépare et approfondit notre action diplomatique. Notre mission, c’est, au fond, de faire de vrais amis à la France, partout dans le monde et dans la durée, en nous intéressant à leurs attentes et en bâtissant un intérêt mutuel. Je reviens du Maroc avec le président de la République, le premier pays d’intervention de l’AFD. J’y étais allé il y a un an, en pleine brouille, pour entretenir le dialogue avec le ministre des Affaires étrangères, et lui proposer d’investir dans les provinces du Sahara occidental, ce que vient d’annoncer le président Macron. De même, au Rwanda, j’avais rencontré le président Kagame dès juin 2019 et nous avions repris nos investissements, en particulier dans la formation professionnelle, pour préparer la visite présidentielle de mai 2021 qui a scellé notre réconciliation. En Ukraine, une agence du groupe AFD a ouvert ses portes cette année. Je pars en Afrique du Sud cette semaine, dans le pays qui présidera le G20 l’année prochaine et où l’AFD a été la première institution à ouvrir un bureau il y a 30 ans, juste après la visite du président Mitterrand au président Mandela. C’est au Cap que nous organiserons en février prochain le sommet Finance en Commun (FiCS), qui réunit toutes les 530 banques publiques de développement du monde.
Comment justifiez-vous l’action de l’AFD en Chine, parfois critiquée ?
Il faut comprendre que notre action en Chine ne coûte rien au contribuable français : l’AFD lève de l’argent qu’elle prête ensuite à la Chine au taux du marché. L’expérience de la France sur les questions environnementales est réputée et recherchée partout dans le monde, notamment en Chine où nous travaillons depuis vingt ans. Quand l’AFD y appuie un projet de qualité, l’année d’après, ce sont 50 autres projets du même type qui sont répliqués partout dans le pays. Cet effet démultiplicateur est d’autant plus utile que nous n’intervenons en Chine que dans les domaines du climat et de la biodiversité. Pourquoi se priver de ce lien et de ce dialogue concret et positif ?
La situation budgétaire est difficile. Comment pensez-vous convaincre les députés d’empêcher cette coupe ?
Le contexte budgétaire est difficile et nous devons tous faire un effort pour être plus efficaces encore et préserver la qualité de la notation de la France sur les marchés. Une solution existe. Comme le proposent des parlementaires de tous les bancs, je préconise d’aligner le taux de notre taxe sur les transactions financières, aujourd’hui de 0,3 %, sur celui de la même taxe à Londres et à Francfort, soit 0,5 %, pour alimenter le Fonds de solidarité pour le développement. Cela rapporterait environ 1,5 milliard. Je me souviens que cette taxe a été promue sur le plan international par le président Jacques Chirac, introduite en France sur proposition du gouvernement de Lionel Jospin et réellement mise en place par le président Nicolas Sarkozy. À l’heure où le débat sur l’architecture financière internationale et sur les taxes globales est revenu en force au sein du G20 et à l’ONU, la France pourrait ainsi maintenir son leadership dans le domaine du financement du développement en 2025, année du 10e anniversaire de l’accord de Paris sur le climat.
Quel message souhaitez-vous faire passer aux parlementaires ?
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Je m’en remets, bien sûr, à la sagesse du gouvernement et du Parlement, qui, je le rappelle, a voté une loi de programmation sur le développement à l’unanimité en 2021. Une baisse de plus de 33 % de notre budget aurait immanquablement un impact très négatif sur les populations des pays les plus vulnérables et sur notre capacité à lutter réellement contre le changement climatique avec les pays émergents.
Il faut cesser d’opposer climat et développement, et changer de focale en abandonnant les terminologies du passé. Le vieux monde de l’aide publique au développement est révolu. Aujourd’hui, nous préférons parler d’investissement solidaire et durable. Car d’un investissement on attend un retour. Nos concitoyens savent que des enjeux majeurs tels que l’immigration, la lutte contre le réchauffement climatique ou la préservation de la biodiversité doivent être envisagés au-delà de nos frontières nationales. Quand on investit au Kenya dans la géothermie ou en République démocratique du Congo dans les forêts, c’est positif, plus rapide et moins coûteux pour le climat que de réduire nos émissions en France. Et cela contribue à stabiliser des pays sous tension en créant chez eux des emplois qui fixent leurs populations. Investir pour un monde plus solidaire et durable est dans l’intérêt de la France.
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La petite bibliothèque du Postillon annoncé par Le Point – Toute l’info en continu le
A voir, cet éditorial sur internet dont le propos est « Actualité française » et qui va vous plaire.
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La difficile elaboration d’un discours politique ; des romans a l’eau pas si rose ; comment parler le Jerome Fourquet ; un nouveau recit algerien. Notre selection de livres.
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Changer de genre en Allemagne devient plus facile à compter du vendredi 1er novembre, car la loi d’« autodétermination » adoptée au printemps entre en vigueur. Elle prévoit une simple déclaration des personnes concernées à l’état civil. L’Allemagne rejoint un groupe d’une dizaine d’autres pays européens, disposant désormais d’une législation simplifiée à ce sujet.
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À l’écart de la route principale, via l’entrée ouest du parc, il y a une grande étendue de brouillard matinal le long de la route. À mesure que la journée se réchauffe, le brouillard se condense sur les herbes et les branches d’arbres près des eaux du ruisseau et forme du givre. Le givre est visible ici au premier plan et sur l’arbre […]
L’article Parc national de Yellowstone, États-Unis est apparu en premier sur (service photographie aérienne).
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les députés profitent d’une pause buvette pour adopter un nouvel impôt sur les milliardaires diffusé par Le Point – Toute l’info en continu le
Dans le cadre de notre fonction de vous alerter, nous publions ci-dessous un article vu sur internet ce jour. La thématique est «Actualité française».
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Titre exacte donné par le journal était:les députés profitent d’une pause buvette pour adopter un nouvel impôt sur les milliardaires
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Un nouvel impôt pour les milliardaires ? Les députés ont adopté, ce vendredi 25 octobre, un amendement déposé par La France insoumise au budget 2025 qui vise à créer un nouvel impôt sur le patrimoine des milliardaires. Ce nouvel impôt irait taxer 2 % de la fraction supérieure de patrimoine d’un foyer qui dépasserait le milliard d’euros, rapporte l’Agence France-Presse (AFP).
« Il va ponctionner à hauteur de 13 milliards d’euros le patrimoine des concitoyens concernés », a critiqué le ministre du Budget, Laurent Saint-Martin. « C’est tout simplement un impôt qui, je pense, n’existe dans aucun autre pays », a-t-il ajouté, avant d’avertir : « Le meilleur moyen de faire fuir ceux qui peuvent investir dans notre pays, c’est exactement celui-là. »
À LIRE AUSSIAssemblée nationale : le pompon sur la pomponette ! « C’est une mesure de bon sens, dont l’effet serait en réalité modeste : s’assurer que ces derniers ne payent pas « moins » d’impôts que les classes moyennes, comme c’est le cas aujourd’hui », a félicité, pour sa part, l’économiste Gabriel Zucman, qui a inspiré l’amendement adopté ce vendredi, sur son compte X. La mesure devra toutefois encore survivre à la navette parlementaire et à un éventuel recours au 49.3 pour espérer entrer en vigueur.
L’absence de députés RN pointée par LFI
Cette taxe Zucman a été adoptée dans l’hémicycle contre l’avis du gouvernement et « malgré l’opposition du Rassemblement national (RN) », souligne Éric Coquerel, président LFI de la commission des Finances. « On ne peut pas, à chaque fois que l’on veut taxer un peu les ultrariches, justifier un chantage au départ surtout de la part d’un ministre. En 20 ans, ils ont accumulé 1 000 milliards de patrimoines, alors leur prendre 13 milliards pour l’intérêt général et l’écologie, je dis banco ! » félicite l’Insoumis sur son compte X.
��La taxe Zucman est adoptée malgré l’opposition du RN !
�� On ne peut pas à chaque fois que l’on veut taxer un peu les ultra riches, justifier un chantage au départ surtout de la part d’un Ministre.
« Victoire », félicite également la députée Insoumise, Gabrielle Cathala. « Les macronistes comptaient sur le RN pour voter contre avec eux mais l’extrême droite était en pause à la buvette de l’Assemblée », tacle-t-elle sur son compte X. Selon les Insoumis, cet amendement a été adopté en raison de l’absence des députés du Rassemblement national.
Le parti lepéniste, lui, a interpellé les élus du bloc central, leur reprochant de ne pas être venus assez nombreux dans l’hémicycle pour repousser l’amendement. « Vous étiez partis à la buvette manger des gâteaux : manger ou voter, il faut choisir », a rétorqué lancé le député Insoumis David Guiraud dans l’hémicycle, à l’adresse du Rassemblement national.
�� VICTOIRE !
Notre amendement Zucman visant à taxer les super patrimoines de plus d’un milliard d’euros est adopté.
Le RN est à la buvette, les macronistes n’ont plus d’alliés, le #NFP l’emporte, Mathilde Panot recadre un ministre ! �� pic.twitter.com/RdExaTpsqK
— La France Insoumise #NFP à l’Assemblée (@FiAssemblee) October 25, 2024
À Découvrir
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Peu de temps avant, le Nouveau Front populaire (NFP) et le RN s’étaient renvoyé la responsabilité de l’échec d’un rétablissement de l’ISF. Le NFP a proposé de créer un « ISF climatique » qui tiendrait compte de l’empreinte carbone du patrimoine, et qui aurait rapporté 15 milliards d’euros, selon l’Écologiste Eva Sas. Une proposition rejetée par la coalition gouvernementale, ainsi que par le RN.
À l’inverse, un amendement RN qui visait à transformer l’actuel impôt sur la fortune immobilière en impôt sur la fortune financière, dont serait exclue la résidence principale, a été rejeté par les soutiens du gouvernement et la gauche. Les deux blocs se sont accusés d’avoir fait le jeu du gouvernement.
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Le président chinois Xi Jinping a déclaré jeudi lors du sommet des Brics que le monde faisait encore face à « de profonds défis » et appelait les économies émergentes à être une « force stabilisatrice pour la paix ». Il s’exprimait au dernier jour du sommet organisé à Kazan, en Russie, un grand rendez-vous diplomatique que Moscou souhaite présenter comme un front uni contre la domination occidentale dans la gestion des affaires mondiales.
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Le post Scènes de York, ME proche de l’heure d’or. est apparu en premier sur Outdoor Photographer.
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En Côte d’Ivoire, l’hypothèse d’une taxe carbone fait son chemin annoncé par Le Point – Toute l’info en continu le
Voici un post que nous sommes heureux de divulguer ici sur notre blog. Le sujet est « Actualité française ».
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Titre exacte donné par le journal était:En Côte d’Ivoire, l’hypothèse d’une taxe carbone fait son chemin
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« La taxe carbone peut être un outil de financement à même de générer d’importants gains socio-économiques et d’atténuation du changement climatique », soulignait la Banque mondiale à l’issue de son 14e rapport sur la situation économique du pays. Ce message, la puissante organisation internationale le distille depuis près de vingt ans auprès des décideurs ivoiriens. Avec un portefeuille frôlant les 6 milliards d’actifs dans le pays, ses équipes œuvrent depuis 2005 à faire de la Côte d’Ivoire le possible second État africain à adopter un tel mécanisme fiscal.
Le fait est rare. Aujourd’hui, seule l’Afrique du Sud s’est dotée d’une taxe carbone en bonne et due forme sur le continent. En 2024, la banque dénombrait un total de 75 instruments visant à réduire cette empreinte dans le monde, dont 39 taxes, le reste prenant la forme de marchés carbone. Cette idée relativement récente, popularisée par le protocole de Kyoto en 1997, se caractérise par un prélèvement obligatoire ajouté au prix de vente d’un bien en fonction de la quantité de gaz à effet de serre émise lors de sa production et, ou de son utilisation. En somme, sa mise en œuvre répond au principe de pollueur-payeur et concerne en premier lieu la consommation d’énergies fossiles.
Plusieurs marques d’engagement
Si le Maroc, le Sénégal ou le Kenya réfléchissent également aux modalités d’une telle taxe, la Côte d’Ivoire suscite un intérêt particulier du fait de la multiplication de ses promesses. Fin 2015, Abidjan s’était porté signataire de l’accord de Paris, s’engageant à réduire ses émissions de 30 % d’ici 2030. Un programme national de lutte contre le changement climatique précédait d’ailleurs la désormais célèbre COP21 et intègre l’essentiel des recommandations de la Banque mondiale. En juin dernier, le gouvernement a reçu un versement de 35 millions de dollars de l’institution siégeant à Washington, résultat d’une réduction effective de 7 millions de tonnes ses émissions de carbone. En parallèle, plusieurs partenariats public-privé sont en cours de déploiement pour créer des crédits carbone, notamment autour de certaines forêts ivoiriennes en péril.
Sur le papier, le deal est alléchant pour l’État ivoirien qui confiera la périlleuse reforestation de ses poumons verts à des structures privées qui devront compter sur des acteurs économiques soucieux de compenser leur empreinte environnementale. Car pour l’heure, c’est bien le volontarisme qui meut ces initiatives peu réglementées, à la différence d’une taxe carbone qui s’imposerait quant à elle comme un prélèvement obligatoire intégré au prix des combustibles. C’est bien là toute la difficulté d’une telle taxe. « Dans nos pays d’Afrique de l’Ouest, le climatoscepticisme est réel, au sens où la population ne s’intéresse pas vraiment à ces enjeux », note Cyprien Yao Yao, docteur en sociologie de l’environnement. Sur le plan théorique, ce sont pourtant les grandes entreprises et le secteur de l’industrie (22 % du PIB en 2022) qui sont censés contribuer le plus à cet effort collectif.
Le défi de l’acceptabilité
Il n’en demeure pas moins qu’en bout de course, la potentielle répercussion de la hausse des coûts de production des industriels vers le consommateur ou le prix de l’essence à la pompe sont des externalités qui pèsent directement sur la population. Pour rappel, la mobilisation des Gilets jaunes en France avait pour origine une augmentation de la taxe carbone sur les hydrocarbures. « Tout cela est-il bien réaliste alors que nous sommes encore rongés par la mal-gouvernance ? Comment s’assurera-t-on que l’argent soit bien réinvesti ? » poursuit perplexe le sociologue. L’acceptabilité sociale dépend à la fois de la sensibilisation aux questions environnementales mais également de la manière dont est utilisée la collecte. Dans la plupart des cas, ces nouvelles recettes sont agrégées au budget général de l’État, qui ne doit pas être tenté de les réutiliser au profit du remboursement de sa dette extérieure, pour ne citer que cet exemple.
Ne pas choisir entre développement et préservation du climat ; pour tenter de résoudre cette équation, les économistes de la Banque mondiale planchent sur plusieurs scénarios. Selon leurs premières conclusions, l’utilisation des recettes pour réduire les impôts prélevés auprès des travailleurs déclarés offrirait plusieurs avantages, parmi lesquels : une augmentation du PIB de 0,34 point de pourcentage, une revalorisation du pouvoir d’achat des ménages et une stimulation de l’économie formelle, en plus d’inciter les individus ou les entreprises à changer leurs habitudes. Dans la pratique, la réalité est moins évidente avec un secteur informel qui continuait de pourvoir plus de 90 % des emplois privés, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique (2019). De même, des niches fiscales demeurent pour d’importants pollueurs liés au monde du transport, en témoigne « l’exonération de la taxe spécifique unique sur les produits pétroliers » pour les aéronefs. Des privilèges qui n’ont toutefois rien de spécifique à la Côte d’Ivoire.
Un projet politique
Si les autorités ivoiriennes s’activent dans ce domaine, c’est que l’urgence est déjà là. Le pays qui contribue à hauteur de 0,1 % aux émissions mondiales de gaz à effet de serre est en première ligne de la montée des eaux avec une large façade maritime et sa capitale économique Abidjan construite à flanc de lagune. Dans les terres, il est généralement admis que 80 à 90 % de sa couverture forestière auraient disparu depuis le début du XXe siècle. La faute à l’appétit du secteur agricole fondé sur des monocultures, assurant à lui seul un quart du PIB et principale source de revenu pour une majorité d’Ivoiriens. Cette richesse du sol qui s’amenuise à mesure de son exploitation continue paradoxalement de rendre le pays attractif pour des ressortissants du Sahel. En effet, le risque climatique se caractérise aussi par une pression migratoire accrue en Afrique de l’Ouest.
Pour maintenir sa posture de locomotive sous-régionale, la Côte d’Ivoire se doit d’investir cette question devenue hautement politique. Mais selon Germain Kramo – enseignant-chercheur à l’université Félix Houphouët-Boigny, spécialiste des finances publiques –, ces réflexions autour de la taxe carbone « s’inscrivent dans une perspective générale de meilleure mobilisation des recettes ». Comme précisé par la Banque mondiale elle-même, le caractère contraignant d’une telle taxe se révèle être un important levier de collecte dans un paysage où l’informel est roi. Soucieuse de créer des exemples africains, la Banque mondiale s’active déjà dans l’extrême ouest du pays en étroite collaboration avec le gouvernement ivoirien. À proximité du parc national de Taï, dernier bout de forêt primaire ivoirienne, la Banque prévoit de décaisser plusieurs millions de dollars afin de récompenser les acteurs du reboisement et de l’agroforesterie.
De son côté, la Cedeao émet l’idée d’un « marché régional standardisé », dont la Côte d’Ivoire pourrait être le porte-étendard au sein d’une union économique plus que jamais remise en question par l’AES. Ce scénario s’inscrirait dans la même perspective que les pays les plus avancés en la matière, à l’heure où l’Union européenne teste l’ajustement carbone à ses frontières, soit une taxe carbone appliquée aux biens importés jugés trop polluants. Un cadre de référence plus que pertinent pour la Côte d’Ivoire qui importe massivement des biens manufacturés en provenance de pays peu soucieux de l’environnement, faute d’appareil productif assez diversifié.
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