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Voici un didacticiel Adobe After Effects rapide pour révéler un texte où votre calque de texte s’étendra rapidement vers l’extérieur.

Commencez avec un calque de texte et animez la position, l’opacité et le suivi. Ensuite, réduisez le suivi pour rassembler toutes les lettres individuelles afin qu’elles se chevauchent. Sous le sélecteur de plage, définissez une image clé pour le pourcentage de démarrage à 0 %, puis définissez une image clé à 100 % plus tard lorsque vous souhaitez que l’animation soit terminée.

Si vous souhaitez que le texte monte vers le haut, réduisez votre valeur de position Y. Et, si vous souhaitez que l’opacité s’estompe, définissez l’opacité sur 0. La position et l’opacité s’animeront vers le haut pendant la durée définie par votre image clé de plage de début.

Pour rendre cette animation encore meilleure, il serait bien que le milieu de l’animation se déplace plus rapidement. Alors, facilitons facilement les images clés de démarrage. Ensuite, allez dans l’éditeur de graphiques pour consulter le graphique de vitesse. Cela montre la vitesse de cette animation. Pour accélérer la partie centrale, cliquez sur le point au début du graphique de vitesse. Ensuite, faites glisser la poignée extérieure vers la droite. Cela déforme la courbe de vitesse et fait davantage un pic. Faites de même avec le point final de la courbe, en le faisant glisser vers la gauche. Cela vous laissera avec une courbe de pointe abrupte. Maintenant, lancez l’animation et voyez comment le début et la fin augmentent/descendent, mais le milieu se produit plus rapidement. Cela ajoute une belle touche d’expansion/explosion à votre animation de texte.

Consultez le court didacticiel After Effects ici :

Les photographes recherchent souvent le « meilleur » équipement photo ou demandent : « quels paramètres avez-vous utilisés ? dans l’espoir d’améliorer leur propre photographie de paysage. La maîtrise de vos outils est un ingrédient pour obtenir des images époustouflantes mais pas le seul. Une conscience aiguë de votre environnement est également un élément clé.

Connaître les fondamentaux de la photographie et de son appareil photo fait partie de la maîtrise du métier mais certainement pas les seuls éléments à apprendre. Simon Baxter, maître photographe forestier, parle de la maîtrise de la conscience et de son impact sur les images de la photographie de paysage.

Baxter discute de la conscience et de la façon dont un enfant voit le monde, en le reliant à ses propres expériences d’enfance. À partir de là, il relie le concept à la façon dont il voit les scènes forestières qu’il photographie encore aujourd’hui et à la manière dont cette conscience influence son travail.

Baxter discute de la perception d’un projecteur par rapport à une perception de lanterne et de la manière dont les deux peuvent avoir un impact sur un photographe paysagiste sur le terrain lorsqu’il découvre l’environnement. Il croit que comprendre la conscience et la façon dont elle peut aider ou nuire à la vision qu’a un photographe paysagiste de la scène devant lui est un élément de la recherche de l’amélioration.

J’ai apprécié le point de vue de Baxter sur le sujet alors que je travaille à améliorer ma photographie et ma vision créative des scènes environnantes. Une conscience accrue de l’environnement naturel contribue à la qualité des images et au plaisir général de l’ensemble du processus, comme chez les enfants.

L’art pour l’art. C’est de cela qu’il s’agit.

J’ai grandi comme un enfant créatif et j’ai toujours été amoureux des cours d’art. J’ai commencé à dessiner et à peindre dès mon plus jeune âge. Mes parents m’ont toujours inscrit à une sorte de programme créatif parascolaire ou d’été. En vieillissant, je me suis concentré sur tous les cours d’art spécialisés et de placement avancé que je pouvais obtenir. J’ai toujours été fasciné par l’idée d’essayer de capturer ma réalité sur papier.

Ça a cliqué

Lorsque j’ai découvert la photographie au lycée, elle s’est révélée être le meilleur support dont je disposais pour capturer ce que je recherchais. Peu de temps après avoir découvert la photographie, j’ai su que je voulais devenir photographe. J’ai recherché une université avec un diplôme en beaux-arts en photographie et j’ai continué mon bon chemin dans la vie à l’école. Ma vie a toujours tourné autour de « l’art », mais je me suis toujours sentie un peu exclue de la communauté artistique.

À l’université, j’ai rédigé une thèse sur le mouvement « L’art pour l’art ». En étudiant l’histoire de l’art, j’ai pris conscience du mouvement et j’ai eu pour la première fois le sentiment d’appartenir à la communauté. L’art ne doit pas nécessairement être quelque chose qui a une énorme signification. Il n’est pas nécessaire qu’il ait un agenda social et il n’est pas nécessaire qu’il change le monde. Il n’est même pas nécessaire qu’une œuvre soit accompagnée d’une déclaration de l’artiste à son sujet. Cela peut simplement être le cas.

Cela peut être simplement joli ou simplement moche. Oui, cela peut simplement être quelque chose qui s’est produit. Cela peut être simplement de la lumière et de l’ombre ou simplement une image.

Il y a tellement de photographes extraordinaires qui font un travail phénoménal. Il est facile de se reprocher de ne pas être assez créatif, artiste ou décalé. Ne pas avoir un point de vue suffisamment différent.

Ne rends pas les choses plus difficiles qu’elles ne l’ont été

Cela n’a pas besoin d’être si compliqué ! Notre propre vision est créative. Ce que nous voyons est uniquement le nôtre, et le partager avec le monde est de l’art. Ce n’est peut-être pas une photo qui finit sur la couverture du magazine National Geographic ou Time, mais cela ne veut pas dire qu’elle n’est pas belle. Vous avez encore une place dans ce monde avec votre vision et une caméra pour l’interpréter. C’est tout ce dont vous avez besoin.

Alors la prochaine fois que vous vous en voudrez de ne pas être « assez » dans ce monde artistique, pensez au mouvement Art for Art’s saké. Nous n’avons pas besoin de tout rendre si compliqué pour être considérés comme des artistes. Créez simplement.

Publié le : 29/02/2024 – 16:03

3 minutes

Plus d’une centaine de civils sont morts et au moins 760 ont été blessés en se ruant sur des camions d’aide humanitaire, dans le nord de la bande de Gaza. alors qu’ils attendaient des camions d’aide humanitaire, ce jeudi 29 février, selon le ministère de la Santé du Hamas, au pouvoir dans l’enclave palestinienne. « Le bilan du massacre de la rue al-Rashid à Gaza-ville s’élève désormais à 104 morts et 760 blessés », a déclaré dans un communiqué le porte-parole du ministère de la Santé du Hamas, Ashraf al-Qudra, révisant à la hausse un premier bilan hospitalier qui faisait état d’au moins 50 morts.

Pour expliquer ce qu’il s’est passé, le directeur des urgences de l’hôpital al-Chifa, dans la ville de Gaza, Amjad Aliwa, a d’abord indiqué que des soldats israéliens Avait tiré sur « des milliers de citoyens » qui se précipitaient vers des camions, alors que le territoire est au bord de la famine. Dans le même temps, des témoins ont également rapporté à l’AFP des scènes lors desquelles des milliers de personnes se sont ruées vers des camions d’aide dans un rond-point de l’ouest de la ville.

Mouvement de foule et des personnes « piétinées », selon l’armée israélienne

De son côté, selon l’armée israélienne, 30 camions d’aide sont entrés dans Gaza par le point de passage de Kerem Shalom tôt dans la matinée et se sont dirigés vers le nord, rapporte le média israélien. Haaretz. En arrivant à la jonction de la ville de Gaza, les camions ont été pris d’assaut par les habitants, ont affirmé les forces de défense israéliennes (IDF), ce qui a entraîné la mort de dizaines de personnes « piétinées ». Les camions ont poursuivi leur route vers le nord et, lorsqu’ils ont atteint le quartier de Rimal, des individus armés auraient assailli les camions pour les piller.

À ce moment-là, d’après le récit de l’armée israélienne, une partie de la foule a commencé à s’approcher d’une unité de Tsahal dans la zone, ce qui a incité les soldats à tirer des coups de semonce en l’air à une distance de plusieurs dizaines de mètres, avant de viser les jambes de ceux qui continuaient à s’avancer vers eux.

Ces soldats israéliens se sont sentis « menacé », avant de tirer à balles réelles sur des Palestiniens, ont expliqué à l’AFP des sources israéliennes. En revanche, ces dernières ont nié que ces tirs soient responsables du bilan de plus d’une centaine de morts palestiniens. Sur X (ex-Twitter), l’armée israélienne a partagé une vidéo qui d’après elle, montrait les camions humanitaires pris d’assaut par des Palestiniens. Dans un autre tweet, l’armée précise que « les détails de l’événement sont en train d’être examinés ».

Un « horrible massacre », d’après l’Autorité palestinienne

Le Hamas a réagi en indiquant que cet incident pourrait faire échouer les négociations concernant un cessez-le-feu et un accord de libération des otages. « Les négociations menées par la direction du mouvement ne sont pas un processus ouvert aux dépens du sang de notre peuple », a déclaré l’organisation, faisant référence aux morts de ce jeudi et affirmant qu’Israël serait responsable de tout échec des pourparlers.

Le bureau du président palestinien Mahmoud Abbas a déclaré qu’il « condamnait l’horrible massacre perpétré par l’armée d’occupation israélienne ce matin contre les personnes qui attendaient les camions d’aide au rond-point de Nabulsi ».

(Et avec AFP)

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Les années se suivent et se ressemblent pour le Danois Jonas Vingegaard, vainqueur comme l’an dernier de trois étapes lors du Gran Camino, une épreuve organisée en Galice, où il a scellé sa victoire au classement général dimanche 25. Comme la veille et l’avant-veille, le vainqueur des deux derniers Tour de France a dominé ses concurrents. Le Danois est parti seul à 3 km du sommet dans la montée finale (7 km, 8%) vers le Mont Aloia, terminant 15 secondes devant l’espoir de la Groupama-FDJ Lenny Martinez (20 ans). Vingegaard n’a laissé échapper que la première étape, un contre-la-montre, remportée par le jeune Gallois Joshua Tarling. Il commence la saison comme la précédente, déjà très en forme, avant de prendre part à Tirreno-Adriatico en mars. Le Tour du Pays basque suivra en avril, avant le Critérium du Dauphiné en juin, deux parcours dont il est le vainqueur sortant.

Publié le : 23/02/2024 – 11h50

2 minutes

Avec nos envoyés spéciaux, Anastasia Becchio et Boris Vichith

Une grande aire de jeu colorée et comme neuve, entourée d’immeubles aux vitres obstruées par des panneaux de contre-plaqué. Sofia, deux ans, s’amuse sous l’œil attentif de son père Andrii. Elle avait deux mois lorsque les premiers bombardements ont touché le quartier de Saltyvka, à Kharkiv, dans l’est de l’Ukraine. La famille qui s’est réfugiée un temps dans l’ouest de l’Ukraine, puis à Poltava, est revenue après la libération de la région de Kharkiv, il ya plus d’un an. « On avait épuisé nos économies. On a peur, mais qu’est-ce qu’on peut faire ? Ça continue à bombarder. Le café que j’ai construit il y a 30 ans, est entièrement détruit. Du coup, je garde notre enfant, et c’est ma femme, médecin, qui travaille. Elle a installé son cabinet à la maison et elle fait de la chirurgie esthétique. J’aimerais bien sûr que tout cela se termine au plus vite, mais seule la victoire sera acceptable pour nous. On ne peut pas juste mettre fin à cette guerre comme ça », explique-t-il.

Partir à tout moment

À Kharkiv, la vie à Kharkiv est rythmée par les alertes aériennes. Darya, 28 ans, promène son enfant de trois ans. En 24 mois, elle a perdu plusieurs membres de sa famille et son cousin a été enlevé par les Russes en zone occupée. « C’est effrayant de vivre ici. On aimerait pouvoir vivre dans un lieu paisible. Mais on n’a plus beaucoup d’espoir que tout finira par s’arranger et que tout se terminera rapidement », déplore Daria.

L’Ukrainienne réfléchit quand même à partir du quartier où elle habite si les bombardements ultérieurs à s’intensifier. Le réservoir de la voiture garée dans la cour de l’immeuble est toujours plein.

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Dans l’ensemble, le trépied Manfrotto Element Small Traveler est élégant et bien conçu. Il est très solide, à condition que vous ne soyez pas dehors par vent fort. Il est doté de nombreuses possibilités de réglage et peut donc fonctionner dans de nombreuses situations. De plus, il est si léger et compact qu’il est à peine perceptible à transporter. Ces caractéristiques, associées à un prix bas, lui confèrent une excellente valeur 5 étoiles.